Nous mettons à votre disposition le livret culturel spécialement conçu pour ce voyage.
- Livret culturel Dijon à télécharger
Et voici quelques liens pour approfondir selon l’envie :
- le musée des Beaux-arts de Dijon, à la découverte de ses immenses collections depuis l’Antiquité jusqu’au XXIe siècle, sans oublier le cabinet d’Arts graphiques et les Collections extra-européennes ;
- le musée de la Vie bourguignonne riche d’un patrimoine exceptionnel et inspiré dans sa présentation ;
- l’église Notre-dame, ses trésors de patrimoineet ses vitraux ;
- la cathédrale Saint-Bénigne, chef-d’oeuvre de la Bourgogne romane, ses vitraux, sa crypteactuellement en restauration ;
- la Fabrique Mulot & Petitjean, exemple d’entreprise familiale fidèle à son histoire et engagée dans la réalité présente ;
- l’extraordinaire château Renaissance d’Ancy-le-Franc avec ses peintures murales, son mobilier, ses plafonds, ses jardins, tout un univers d’émerveillement.
La ville et son histoire
Pour une première vision globale de la cité, un parcours pédestre propose de regarder les bâtiments remarquables du centre classé, tout en se promenant à travers les siècles : du Dijon médiéval des ruelles et des églises, aux chefs-d’œuvre de l’architecture classique du XVIIe (Palais des Ducs, hôtels particuliers), en faisant un petit tour par l’art déco et dans le jardin Darcy.
Pour couronner le périple, découvrir la Chouette aussi petite par sa taille que grande par son symbole.
Deux musées
- Le musée des Beaux-arts
Parmi les plus riches des musées de France, le musée des Beaux-arts s’est fait une beauté et s’est agrandi. Situé dans le Palais des États, il offre au visiteur une cinquantaine de magnifiques salles couvrant la totalité de l’histoire de l’art.
Un parcours des chefs-d’œuvre en visite guidée, puis un temps libre pour aller à la rencontre de nos propres coups de cœur ou de notre siècle préféré, voilà de quoi satisfaire nos envies. - Le musée de la Vie bourguignonne
Dans le cadre accueillant du monastère des Bernardines, ce musée ethno-graphique est consacré à la vie bourguignonne fin XIXe – début XXe siècle : collection de costumes et coiffes, objets du quotidien, jouets et faïences ; et surtout La Rue du temps qui passe, reconstitution extraordinairement minutieuse et vivante de 11 boutiques évoquant le commerce et les produits de l’industrie.
De quoi déguster une « madeleine » au pays du pain d’épices ?
Deux édifices religieux
- L’église Notre-Dame
Chef-d’œuvre de l’art gothique bourguignon bâti en seulement vingt années dans la première moitié du XIIIe siècle, l’église présente une pittoresque façade-écran ornée de trois rangées de fausses gargouilles et dominée par le Jacquemart. La célèbre chouette, très usée à force d’être caressée, est sculptée sur le contrefort de la chapelle des Chambellan. L’église de taille modeste est remarquable par l’harmonie de ses proportions, ses vitraux XIIIe et XIXe, son magnifique orgue et la statue en bois de Notre-Dame de Bon-Espoir (XIe-XIIe) qui protège la ville. - La cathédrale Saint-Bénigne
Également de style gothique bourguignon, cette cathédrale garde d’importants vestiges de l’ancienne grande abbatiale romane : une petite partie du portail et surtout l’exceptionnelle crypte impressionnante de spiritualité qu’abritait l’ancienne rotonde. Le chœur et la nef font varier deux couleurs différentes de pierre, l’ensemble est assez dépouillé, l’élévation particulièrement lumineuse. Les belles tuiles vernissées de la toiture donnent vie à l’extérieur de l’édifice.
Les produits du territoire
- Pain d’épices, moutarde, cassis et vin
Depuis plus de 200 ans, la Fabrique Mulot & Petitjean perpétue de père en fils et en filles les secrets de fabrication du pain d’épices dijonnais : voici la visite et la dégustation pour tout savoir sur ce produit de tradition.
À table, les chefs mettent à l’honneur chacune des spécialités de la région dans nos menus : c’est la fête des papilles annoncée pour tout le monde.
La Renaissance en Bourgogne
- Le château d’Ancy-le-Franc
Un fleuron de la Renaissance qui abrite un décor foisonnant attribué aux plus grands maîtres italiens, flamands et bourguignons des XVIe et XVIIe siècles, dont une rarissime collection de peintures murales. Sans oublier les vastes jardins à la française et à l’anglaise, et deux nouvelles extraordinaires créations de parterres.